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 Notre pauvre planète et sa survie.

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Elodie
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MessageSujet: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeDim 22 Nov - 11:54

Comme vous le savez notre planète ne ce porte pas pour le mieux Exclamation
Discutons ensemble de ce qui vas et vas pour amélioré la survie de notre planète et des ses habitants
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Elodie
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MessageSujet: La fonte de la calotte glaciaire du Groenland s'accélère!!!!   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeDim 22 Nov - 11:58

La calotte glaciaire du Groenland fond à un rythme accéléré depuis deux ans, selon des observations satellitaires confirmées indépendamment par un modèle informatique, selon une recherche publiée jeudi dans la revue américaine Science.
Les derniers étés plus chauds que de coutume ont accentué cette fonte qui a atteint 273 kilomètres cube par an durant la période 2006-2008 se traduisant par une montée de 0,75 millimètre par an du niveau des océans, précise les auteurs de ces travaux.
"Il est clair que ces observations confirment l'accélération de la perte de masse de glace du Groenland depuis la fin des années 90 et les causes de ce phénomène laissent penser qu'il va probablement se poursuivre dans un proche avenir", souligne le glaciologue Jonathan Bamber de l'Université de Bristol (GB), un des auteurs de cette étude.
"Nous avons établi la confirmation de ce phénomène avec deux estimations totalement séparées ce qui nous rend très confiants des chiffres obtenus et de la justesse de nos hypothèses pour l'expliquer", ajoute-t-il.
Les glaces du Groenland contiennent suffisamment d'eau pour provoquer une montée du niveau des océans de sept mètres.
Depuis 2000, la calotte glaciaire du Groenland a perdu quelque 1.500 kilomètres cubes (1.500 milliards de tonnes) au total représentant une augmentation du niveau des océans d'un demi-millimètre annuellement ou de 5 mm depuis 2000.
Une partie importante de la glace fondue à la surface des glaciers regèle sous la neige qui les recouvre chaque hiver, expliquent les auteurs de l'étude. Sans cet effet modérateur, le volume de glace perdue depuis 1996 au Groenland aurait été deux fois plus grand qu'observé aujourd'hui.
Le rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) prévoyait en 2007 une montée du niveau des océans du globe de 18 à 59 centimètres d'ici 2100. Mais selon le Giec une partie importante de cette hausse devrait résulter de la dilatation de l'eau en se réchauffant et dans une moindre mesure de la fonte des glaces.
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Applemaniac
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeDim 22 Nov - 18:54

très belle initiative l'ouverture du poste. Very Happy
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Applemaniac
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MessageSujet: Les Belges sont prêts à ralentir pour protéger l'environnement.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeLun 23 Nov - 13:59

Les Belges sont prêts à ralentir pour protéger l'environnement.


La moitié des Belges (51%) serait prête à accepter une réduction généralisée de 10 km/h de la vitesse maximale autorisée pour diminuer les émissions de CO2, et ainsi contrer la pollution atmosphérique due au trafic, ressort-il lundi d'une enquête internationale sur le comportement des conducteurs, menée auprès de 800 répondants dans chacun des 10 pays participant pour le compte de l'assureur AXA.
Les hommes moins favorables que les femmes
Le baromètre AXA du comportement au volant a passé sous la loupe une série de sujets relatifs à l'environnement. C'est ainsi que l'on apprend que 51% des Belges ne seraient pas opposés à ralentir pour protéger l'environnement. Les hommes sont toutefois moins favorables à cette idée que les femmes (47% contre 57%) et les Wallons plus réticents que les Flamands (46% contre 55%).
Alertes au smog sont les mesures les plus efficaces
Parmi les 800 Belges interrogés, un sur trois considère que les alertes au smog (réduction de la vitesse sur les autoroutes à 90km/h lorsque les concentrations de particules fines (PM10) dans l'atmosphère constituent un risque pour la santé) sont les mesures les plus efficaces pour réduire la pollution atmosphérique due au trafic. Les jeunes conducteurs préfèrent l'organisation de journées sans voiture (37%), ce dont les conducteurs plus âgés (55+) ne veulent pas entendre parler (11%). Les tarifications routières sur les autoroutes n'ont pas la cote. Seuls 10% des conducteurs accepteraient une augmentation des tarifs pour protéger l'environnement. Quant aux tarifications en zone urbaine, 6% seulement approuveraient la mesure.
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeLun 23 Nov - 19:20

belle mentalité de nos amis belge Very Happy
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Elodie
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MessageSujet: le "scénario du pire" serait en marche   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeMer 25 Nov - 20:02

le "scénario du pire" serait en marche Exclamation

L'augmentation du taux de CO2 dans l'atmosphère, à l'origine du réchauffement climatique en cours, se situe "au-delà du pire scénario" esquissé en 2007 par les scientifiques du monde entier, expliquent les climatologues à la veille du sommet de Copenhague.

Guerre du climat, acte II... La proximité du sommet de Copenhague sur le climat, auquel 65 chefs d'Etat ont déjà annoncé leur participation, provoque une véritable guerre de position, où chacun tente d'avancer ses pions sur un échiquier politique des plus complexes. Entre découragement et regain d'optimisme, chaque Etat ou groupe d'Etats négocie âprement ses concessions ou ses avancées. Mais sur le front des scientifiques, la guerre fait rage également. Les scientifiques et les institutions associées au Giec vivent très mal la critique incessante des "climato-sceptiques". Ils répliquent avec une nouvelle batterie de données.

"En termes d'émissions de CO2, on est au-delà du pire scénario qui avait été imaginé dans les projections du Groupe intergouvernemental d'experts sur le climat (Giec)", explique ainsi Hervé Le Treut, spécialiste de la modélisation du climat.

"Il n'y pas de signal fort qui nous incite à être optimiste. On est sur une trajectoire qui se traduirait, selon les modèles, par 4 à 6 degrés de réchauffement" d'ici la fin du siècle, ajoute-t-il, à dix jours du rendez-vous de Copenhague.

Bien au delà des deux degrés

Des propos corroborés par un rapport présenté par l'Institut de recherche sur les impacts du climat de Potsdam, en Allemagne. Cet institut publiait mardi un document de 64 pages représentant une synthèse des travaux scientifiques sur le changement climatique parus depuis le 4ème rapport du Groupe intergouvernemental d'experts sur le climat (Giec, 2007), assorti d'un appel à agir.

Pour les auteurs, "la température moyenne de l'air devrait se réchauffer entre 2 et 7 degrés en 2100 par rapport à la période pré-industrielle".

Ils estiment également que l'augmentation de 40% des émissions de CO2 entre 1990 et 2008, rend plus difficile à atteindre l'objectif fixé en juillet par plusieurs dirigeants de pays développés et émergents de limiter à 2 degrés le réchauffement global. "Chaque année de retard dans l'action augmente les chances que le réchauffement dépasse 2°C", avertissent-ils. Selon une autre étude récente du Global Carbon Project (GCP), les émissions mondiales de CO2 liées à l'utilisation d'énergies fossiles ont bondi de 29% entre 2000 et 2008. Elles ont atteint 8,7 milliards de tonnes en 2008, un nouveau record absolu après une hausse de 2% par rapport à 2007.

'Dernier appel" avant Copenhague

Selon Hans Joachim Schellnhuber, directeur de l'institut de Potsdam et membre du Giec, le rapport est un "dernier appel des scientifiques à l'intention des négociateurs sur le climat de 192 pays qui doivent prendre le train de la protection climatique à Copenhague", du 7 au 18 décembre.

"Ils doivent connaître la vérité sans détours sur le réchauffement global et les risques sans précédent qu'il implique", souligne Hans Joachim Schellnhuber.

A l'attention de ceux qui douteraient encore de l'origine humaine du réchauffement, le document de Potsdam rappelle que durant le dernier quart de siècle, les températures moyennes ont augmenté de 0,19 degré par décennie, ce qui correspond parfaitement aux prévisions calculées sur la base des émissions de gaz à effet de serre.

Une conclusion qui se veut une réponse sans ambiguité aux contestations des "climato-sceptiques", une mouvance se référant à certains travaux de scientifiques critiques, pour dénoncer les "dogmes de la nouvelle religion du climat", dont le Giec serait le temple. Cette mouvance aux contours incertains s'est récemment beaucoup activée et estime détenir la preuve des manipulations conduisant à la thèse du réchauffement d'origine humaine, après que des courriels volés dans un serveur d'un centre de recherches aient été dévoilés sur internet.

Les effets alarmants du changement climatique

L'un des effets les plus alarmants du changement à venir concerne la multiplication des phénomènes météorologiques extrêmes, que ce soit au niveau des températures (canicules) ou des précipitations (sécheresses, inondations).

Un autre concerne l'élévation du niveau des mers.

"La montée actuelle du niveau des mers", de 3,4 mm par an durant les 15 dernières années, "est supérieure de 80% aux prévisions passées du Giec", selon les climatologues.

Au lieu d'une fourchette comprise entre 18 et 59 cm d'augmentation, les experts estiment désormais que si les émissions de gaz à effet de serre ne sont pas réduites, la fonte des calottes glaciaires provoquera une montée des eaux comprise entre un et deux mètres d'ici la fin du siècle.

La fonte de la banquise arctique, de 40% plus rapide que ce que le Giec avait prévu, signifie que les océans absorberont davantage la chaleur du Soleil, ce qui en retour accélèrera la fonte des glaces maritimes.

Dommages irréversibles

Dès lors, si des mesures efficaces ne sont pas mises en place, plusieurs écosystèmes subiront des dommages irréversibles, souligne le rapport.

La déforestation et des sécheresses plus sévères en Amazonie pourraient ainsi, en quelques décennies, transformer la plus grande forêt tropicale du monde en savane. Ce poumon de la planète deviendrait alors émetteur net de CO2, accélérant à son tour le réchauffement.

C'est du reste la raison pour laquelle la communauté scientifique s'accorde sur la nécessité de maintenir le réchauffement sous la barre des deux degrés. Ils avouent ne pas être en mesure de prévoir les conséquences d'un réchauffement supérieur, et craignent un "emballement climatique" au delà de ce plafond.

Pour limiter le réchauffement à 2 degrés, il faut que les émissions cessent d'augmenter entre 2015 et 2020 et diminuent ensuite rapidement.

"Une société mondiale 'décarbonée' - avec zéro émissions de CO2 et d'autres gaz à effet de serre durables - doit être atteinte bien avant la fin du siècle", espèrent les climatologues. C'est le message qu'ils veulent délivrer aux négociateurs de Copenhague.

Fournir des efforts pédagogiques

Faut-il alors déjà revoir le 4ème rapport du Giec pour l'actualiser au regard des nouvelles données et face à l'ampleur de la menace ? Hervé Le Treut reconnaît que le document est conservateur sur l'élévation du niveau des mers car nombre d'études, qui prennent notamment en compte la fonte du Groenland, évoquent désormais une hausse d'un mètre d'ici 2100. Il réfute toutefois fermement l'idée d'une actualisation permanente qui "offrirait un front fragile à toutes les critiques". "Le texte est suffisant pour donner les ordres de grandeur avec lesquels il faut agir", souligne le climatologue.

Face à la réelle difficulté d'imaginer ce que pourrait être, concrètement, "un monde plus chaud", Hervé le Treut souligne la nécessité d'intensifier les efforts pour expliquer, en dépassant "les modèles de physicien", quel visage pourrait offrir la planète demain.

"Au-delà de deux degrés, on change de monde. Mais comment cela se traduit-il? Quelles espèces d'arbres sont menacées, quelles mutations dans les espèces animales, que restera-t-il comme neige dans les grands glaciers de montagne ? On a absolument besoin de cette information là".

Pas de catastrophisme, ni d'angélisme

Pour que les transitions profondes liées aux changements climatiques - "il y aura des gagnants et des perdants" - se passent de manière pacifique, il met en garde contre les simplifications abusives.

"Faire du changement climatique une catastrophe absolue, sans échappatoire ni rémission, c'est aller au-delà de ce que dit la science", écrit-il dans son dernier livre, intitulé "Nouveau Climat sur la terre" (Flammarion). "S'autoriser un relativisme somme toute très approximatif -l'humanité s'en est toujours sortie et il n'y a pas de raison que cela change-, (...) c'est instaurer en système une désinvolture qui menace gravement les générations futures".

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Applemaniac
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeVen 27 Nov - 20:14

Elodie a écrit:
le "scénario du pire" serait en marche Exclamation

L'augmentation du taux de CO2 dans l'atmosphère, à l'origine du réchauffement climatique en cours, se situe "au-delà du pire scénario" esquissé en 2007 par les scientifiques du monde entier, expliquent les climatologues à la veille du sommet de Copenhague.

Guerre du climat, acte II... La proximité du sommet de Copenhague sur le climat, auquel 65 chefs d'Etat ont déjà annoncé leur participation, provoque une véritable guerre de position, où chacun tente d'avancer ses pions sur un échiquier politique des plus complexes. Entre découragement et regain d'optimisme, chaque Etat ou groupe d'Etats négocie âprement ses concessions ou ses avancées. Mais sur le front des scientifiques, la guerre fait rage également. Les scientifiques et les institutions associées au Giec vivent très mal la critique incessante des "climato-sceptiques". Ils répliquent avec une nouvelle batterie de données.

"En termes d'émissions de CO2, on est au-delà du pire scénario qui avait été imaginé dans les projections du Groupe intergouvernemental d'experts sur le climat (Giec)", explique ainsi Hervé Le Treut, spécialiste de la modélisation du climat.

"Il n'y pas de signal fort qui nous incite à être optimiste. On est sur une trajectoire qui se traduirait, selon les modèles, par 4 à 6 degrés de réchauffement" d'ici la fin du siècle, ajoute-t-il, à dix jours du rendez-vous de Copenhague.

Bien au delà des deux degrés

Des propos corroborés par un rapport présenté par l'Institut de recherche sur les impacts du climat de Potsdam, en Allemagne. Cet institut publiait mardi un document de 64 pages représentant une synthèse des travaux scientifiques sur le changement climatique parus depuis le 4ème rapport du Groupe intergouvernemental d'experts sur le climat (Giec, 2007), assorti d'un appel à agir.

Pour les auteurs, "la température moyenne de l'air devrait se réchauffer entre 2 et 7 degrés en 2100 par rapport à la période pré-industrielle".

Ils estiment également que l'augmentation de 40% des émissions de CO2 entre 1990 et 2008, rend plus difficile à atteindre l'objectif fixé en juillet par plusieurs dirigeants de pays développés et émergents de limiter à 2 degrés le réchauffement global. "Chaque année de retard dans l'action augmente les chances que le réchauffement dépasse 2°C", avertissent-ils. Selon une autre étude récente du Global Carbon Project (GCP), les émissions mondiales de CO2 liées à l'utilisation d'énergies fossiles ont bondi de 29% entre 2000 et 2008. Elles ont atteint 8,7 milliards de tonnes en 2008, un nouveau record absolu après une hausse de 2% par rapport à 2007.

'Dernier appel" avant Copenhague

Selon Hans Joachim Schellnhuber, directeur de l'institut de Potsdam et membre du Giec, le rapport est un "dernier appel des scientifiques à l'intention des négociateurs sur le climat de 192 pays qui doivent prendre le train de la protection climatique à Copenhague", du 7 au 18 décembre.

"Ils doivent connaître la vérité sans détours sur le réchauffement global et les risques sans précédent qu'il implique", souligne Hans Joachim Schellnhuber.

A l'attention de ceux qui douteraient encore de l'origine humaine du réchauffement, le document de Potsdam rappelle que durant le dernier quart de siècle, les températures moyennes ont augmenté de 0,19 degré par décennie, ce qui correspond parfaitement aux prévisions calculées sur la base des émissions de gaz à effet de serre.

Une conclusion qui se veut une réponse sans ambiguité aux contestations des "climato-sceptiques", une mouvance se référant à certains travaux de scientifiques critiques, pour dénoncer les "dogmes de la nouvelle religion du climat", dont le Giec serait le temple. Cette mouvance aux contours incertains s'est récemment beaucoup activée et estime détenir la preuve des manipulations conduisant à la thèse du réchauffement d'origine humaine, après que des courriels volés dans un serveur d'un centre de recherches aient été dévoilés sur internet.

Les effets alarmants du changement climatique

L'un des effets les plus alarmants du changement à venir concerne la multiplication des phénomènes météorologiques extrêmes, que ce soit au niveau des températures (canicules) ou des précipitations (sécheresses, inondations).

Un autre concerne l'élévation du niveau des mers.

"La montée actuelle du niveau des mers", de 3,4 mm par an durant les 15 dernières années, "est supérieure de 80% aux prévisions passées du Giec", selon les climatologues.

Au lieu d'une fourchette comprise entre 18 et 59 cm d'augmentation, les experts estiment désormais que si les émissions de gaz à effet de serre ne sont pas réduites, la fonte des calottes glaciaires provoquera une montée des eaux comprise entre un et deux mètres d'ici la fin du siècle.

La fonte de la banquise arctique, de 40% plus rapide que ce que le Giec avait prévu, signifie que les océans absorberont davantage la chaleur du Soleil, ce qui en retour accélèrera la fonte des glaces maritimes.

Dommages irréversibles

Dès lors, si des mesures efficaces ne sont pas mises en place, plusieurs écosystèmes subiront des dommages irréversibles, souligne le rapport.

La déforestation et des sécheresses plus sévères en Amazonie pourraient ainsi, en quelques décennies, transformer la plus grande forêt tropicale du monde en savane. Ce poumon de la planète deviendrait alors émetteur net de CO2, accélérant à son tour le réchauffement.

C'est du reste la raison pour laquelle la communauté scientifique s'accorde sur la nécessité de maintenir le réchauffement sous la barre des deux degrés. Ils avouent ne pas être en mesure de prévoir les conséquences d'un réchauffement supérieur, et craignent un "emballement climatique" au delà de ce plafond.

Pour limiter le réchauffement à 2 degrés, il faut que les émissions cessent d'augmenter entre 2015 et 2020 et diminuent ensuite rapidement.

"Une société mondiale 'décarbonée' - avec zéro émissions de CO2 et d'autres gaz à effet de serre durables - doit être atteinte bien avant la fin du siècle", espèrent les climatologues. C'est le message qu'ils veulent délivrer aux négociateurs de Copenhague.

Fournir des efforts pédagogiques

Faut-il alors déjà revoir le 4ème rapport du Giec pour l'actualiser au regard des nouvelles données et face à l'ampleur de la menace ? Hervé Le Treut reconnaît que le document est conservateur sur l'élévation du niveau des mers car nombre d'études, qui prennent notamment en compte la fonte du Groenland, évoquent désormais une hausse d'un mètre d'ici 2100. Il réfute toutefois fermement l'idée d'une actualisation permanente qui "offrirait un front fragile à toutes les critiques". "Le texte est suffisant pour donner les ordres de grandeur avec lesquels il faut agir", souligne le climatologue.

Face à la réelle difficulté d'imaginer ce que pourrait être, concrètement, "un monde plus chaud", Hervé le Treut souligne la nécessité d'intensifier les efforts pour expliquer, en dépassant "les modèles de physicien", quel visage pourrait offrir la planète demain.

"Au-delà de deux degrés, on change de monde. Mais comment cela se traduit-il? Quelles espèces d'arbres sont menacées, quelles mutations dans les espèces animales, que restera-t-il comme neige dans les grands glaciers de montagne ? On a absolument besoin de cette information là".

Pas de catastrophisme, ni d'angélisme

Pour que les transitions profondes liées aux changements climatiques - "il y aura des gagnants et des perdants" - se passent de manière pacifique, il met en garde contre les simplifications abusives.

"Faire du changement climatique une catastrophe absolue, sans échappatoire ni rémission, c'est aller au-delà de ce que dit la science", écrit-il dans son dernier livre, intitulé "Nouveau Climat sur la terre" (Flammarion). "S'autoriser un relativisme somme toute très approximatif -l'humanité s'en est toujours sortie et il n'y a pas de raison que cela change-, (...) c'est instaurer en système une désinvolture qui menace gravement les générations futures".

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Très inquiétant Rolling Eyes le seul problème est que la génération actuel s'en fous complètement de nos prochains pffff
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MessageSujet: 2000-2009, décennie la plus chaude jamais enregistrée.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeMar 8 Déc - 13:24

2000-2009, décennie la plus chaude jamais enregistrée.
La décennie 2000-2009 devrait être "la plus chaude jamais enregistrée" depuis les premiers relevés instrumentaux réalisés en 1850, a annoncé mardi à Copenhague l'Organisation Météorologique Mondiale (OMM)

"La décennie 2000-2009 sera très probablement la plus chaude jamais enregistrée", a déclaré Michel Jarraud, secrétaire général de l'OMM, lors d'un point de presse en marge des négociations climat.

Pour l'année 2009, les données provisoires indiquent qu'elle devrait se classer au 5e rang des années les plus chaudes en termes de température moyenne à la surface de la Terre, a-t-il ajouté, précisant que les résultats définitifs seraient annoncés en mars 2010.

Interrogé sur ses prévisions pour les années à venir, Michel Jarraud s'est refusé à tout pronostic année par année.

"Nous sommes dans une tendance de réchauffement, nous n'avons pas de doute là-dessus mais je ne pourrais faire de prédictions pour l'année prochaine", a-t-il expliqué.



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MessageSujet: Le Mondial 2010 très polluant   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeMer 9 Déc - 14:38

Le Mondial-2010 de football en Afrique du Sud sera neuf fois plus polluant que la compétition précédente en Allemagne en 2006, à cause de la longue distance des vols nécessaires pour rallier le pays, selon des estimations sud-africaines présentées lundi à Copenhague.
"Nous nous attendons à ce que l'impact sur l'environnement du Mondial en Afrique du Sud soit neuf fois supérieur à celui du Mondial allemand", a déclaré Dorah Nteo, directrice de la DEAT, l'agence gouvernementale sud-africaine chargée du climat, au cours d'une conférence de presse. La majeure partie de cet impact (85%) est liée aux transports aériens utilisés pour se rendre en Afrique du Sud, mais aussi pour se déplacer entre les villes du pays.
La pointe méridionale de l'Afrique est éloignée des principaux pourvoyeurs de supporters de football en Amérique et en Europe, nécessitant des trajets de milliers de kilomètres. Les émissions totales de CO2 engendrées par la première Coupe du Monde sur le sol africain seront également plus de deux fois supérieures à celles des Jeux Olympiques de Pékin l'an dernier, ont expliqué des responsables onusiens. "Selon l'estimation actuelle, les émissions totales pour la prochaine Coupe du Monde dépasseront 2,75 millions de tonnes de CO2. Aux JO de Pékin, elles étaient de 1,18 million de tonnes", a indiqué Theodore Oben, chargé de communication au Programme des Nations unies pour l'environnement (UNEP).

A eux seuls, les 400.000 supporters du ballon rond attendus en Afrique du Sud parcourront au total environ 7,1 millions de kilomètres en avion pour rallier le pays organisateur et émettront 1,6 million de tonnes de CO2, selon un document onusien.

L'ONU a appelé les supporters à "compenser" les émissions de CO2 de leurs trajets en avion et discute actuellement avec les équipes qualifiées pour qu'elles fassent de même. Une vingtaine des 32 équipes qualifiées, dont la France, l'Angleterre, l'Italie, le Brésil, les Etats-Unis, se sont déjà dites prêtes à le faire et aucune équipe n'a décliné l'offre, selon l'Onu.

Au total, en comptant équipes et supporters, l'ONU estime à 33 millions de dollars (22 millions d'euros) la somme à débourser pour compenser les émissions de CO2 engendrées par les vols internationaux vers l'Afrique du Sud.
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeMer 9 Déc - 17:21

Sujet: Le Mondial 2010 très polluant

pas ou peux de personne n'en prête attention malheureusement No
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MessageSujet: Quelle planète pour 2100 ?   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeVen 25 Déc - 12:15

Quelle planète pour 2100 ?
La Terre, en proie au réchauffement climatique, risque de connaître une évolution progressive mais irréversible au cours du siècle à venir. Aperçu des conséquences de ce coup de fièvre.
Les climatologues sont formels, le mercure va monter dans les décennies à venir. Pour 2100, le dernier rapport du GIEC prévoit une augmentation de la température de 1,8 à 4 degrés, selon le scénario modéré (B2), qui prédit une augmentation moins rapide qu’aujourd’hui des émissions de gaz à effet de serre. Le scénario intensif (A2), lui, prévoit une augmentation proche de celle d’aujourd’hui et augure donc une hausse de 6 degrés. Le site de Météo France a publié un outil de simulation destiné à visualiser les prévisions climatiques jusqu’en 2100. Intéressant, mais la recherche se limite au territoire français.



Quand la mer monte…

L’augmentation de la température a bien évidemment d’autres conséquences sur la planète, comme l’évaporation de l’eau, qui va provoquer une augmentation des précipitations. Le réchauffement climatique provoque également une dilatation des océans, qui fait fondre les calottes glacières. C’est là que la mer monte, submerge les zones côtières et redessine les frontières. Toujours selon le dernier rapport du GIEC, le niveau de la mer pourrait monter de 59 cm d’ici 2100, mais le rapport du Conseil Arctique est plus pessimiste et annonce une montée des eaux de plus d’un mètre d’ici la fin du siècle.



La Flandre submergée


Petit aperçu de la montée des eaux avec ce simulateur. Si l’on en croit cette carte et si la progression est constante, dans 14 siècles, Bruxelles pourrait bien devenir Bruxelles-les-bains puisque la Flandre serait en grande partie engloutie. Mais à l’heure actuelle on parle déjà de millions de "réfugiés climatiques", forcés de quitter leur région à cause des effets du réchauffement climatique. (voir encadré)



Des phénomènes naturels plus intenses

Le rapport du GIEC indique également que l’ "on peut s’attendre à avoir non pas davantage de cyclones, mais d’intensité supérieure". Mais les scientifiques restent divisés sur le lien qui pourrait exister entre changement climatique et cyclones. Ce qui inquiète, c’est qu’on compte depuis une trentaine d’années une augmentation des ouragans des catégories les plus fortes : ceux-ci ont doublé en nombre entre les années les années 1970 et les années 1990-2004. De plus, la puissance des cyclones tropicaux a pratiquement doublé depuis les années 1950. La tendance est donc à l’amplification des phénomènes. Y a-t-il pour autant un lien de cause à effet avec le réchauffement climatique ? C’est le temps qui le dira.


Déjà des millions de réfugiés climatiques
La population de l’île de Lohachara, dans le golfe du Bengale, fut la première à émigrer des suites du changement climatique. Submergés par les eaux, les 10 000 habitants de l’île ont été contraints de s’exiler sur l’île voisine de Sagar, elle aussi menacée. Un rapport de l’OIM (Organisation internationale pour les migrations) a enregistré 20 millions de réfugiés climatiques en 2008.

Les régions qui risquent d’être les plus concernées par ce phénomène seraient l’Afghanistan, le Bangladesh, l’Amérique centrale et certaines portions de l’Afrique de l’Ouest et de l’Asie du Sud-Est. L’étude prédit entre 200 millions et un milliard de réfugiés climatiques sur les quarante prochaines années.

L’accueil de ces réfugiés pose évidemment question. Les zones touchées sont essentiellement des zones côtières de pays en développement. Les migrants resteront le plus souvent dans le pays, ajoutant une charge supplémentaire à des villes qui sont souvent déjà surpeuplées et affectées par des pénuries.


Déborah Van Thournout
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeVen 25 Déc - 16:41

Oui assez impressionnant quand même Exclamation
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeVen 25 Déc - 18:37

La Flandre submergée Question Question Laughing
Alors la les Francophones seront aimer de tous les Néerlandophones pour venir squatter chez nous. Mdr
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MessageSujet: Un iceberg de la taille du Luxembourg s'est décroché de l'Antarctique   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeVen 26 Fév - 10:52

Un iceberg de la taille du Grand-Duché de Luxembourg s'est détaché d'un glacier de l'Antarctique et dérive dans l'océan, ont annoncé vendredi des scientifiques. Le bloc de glace, d'une surface de 2.500 km2, s'est décollé du glacier il y a deux semaines, sous le choc d'un autre iceberg venu le percuter, a expliqué le glaciologue Neal Young. L'iceberg géant pourrait soit poursuivre sa dérive dans l'océan antarctique soit émigrer vers le nord et fondre progressivement.
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeVen 30 Avr - 7:06

La marée noire se rapproche des côtes américaines
Catastrophe environnementale dans le golfe du Mexique. Le pétrole se rapproche des côtes américaines.
Une nouvelle fuite a été détectée dans la plate-forme qui a sombré le 22 avril dans le golfe du Mexique et relâche cinq fois plus de pétrole qu'estimé initialement, alors que la nappe d'hydrocarbures se rapproche plus vite que prévu des côtes américaines. Malgré les efforts des autorités qui ont mis le feu mercredi à une portion de la nappe, la marée noire, selon le gouverneur de Louisiane, Bobby Jindal, pourrait atteindre dès jeudi les côtes de cet Etat du sud des Etats-Unis, menaçant son fragile écosystème d'une catastrophe majeure.

Le gouverneur a demandé aux autorités fédérales une aide d'urgence pour protéger les côtes, faisant état d'informations "selon lesquelles une partie de la nappe s'apprête à toucher les côtes de Louisiane plus tôt que prévu". "Notre priorité absolue est de protéger nos citoyens et l'environnement. Ces moyens sont primordiaux pour atténuer l'impact de la marée noire sur nos côtes", a déclaré le gouverneur.



Une nouvelle fuite

Une semaine après l'accident, les garde-côtes américains ont annoncé tard mercredi la découverte d'une nouvelle fuite, estimant à "plus de 5.000 barils par jour" le volume de pétrole se déversant dans la mer. "Nous avons trouvé une nouvelle fuite", a confirmé Michael Abdenhoff, un porte-parole de la compagnie pétrolière BP, qui exploitait la plate-forme, mais "elle est en amont des deux fuites déjà présentes. Nous pensons que le volume (de pétrole) qui s'échappe reste inchangé".

L'Agence américaine des océans et de l'atmosphère (NOAA) avait prévenu mercredi que des vents persistants devraient pousser la nappe de brut vers les terres, qu'elle pourrait toucher "vendredi soir". Pour tenter de contenir la progression de la marée noire, des équipes d'intervention ont enflammé mercredi une portion de la nappe, qui atteignait 965 km de circonférence et se trouvait alors à environ 26 km de la Louisiane.



Un flotteur enflammé

Une flottille déployée par les garde-côtes et BP a d'abord comprimé une portion de la nappe en l'emprisonnant dans un barrage flottant. Un "petit flotteur" a ensuite été envoyé à l'intérieur et a été enflammé avec succès, selon les gardes-côtes. Tous les feux devaient être éteints à la tombée de la nuit. Le but de l'opération est de protéger l'écosystème des côtes de la Louisiane.

La plate-forme Deepwater Horizon, propriété de la société Transocean, contenait 2,6 millions de litres de pétrole et extrayait près de 1,27 million de litres par jour. Elle a coulé après une explosion et un incendie survenus le 20 avril. Onze personnes sont portées disparues. Les marais côtiers de la Louisiane constituent un sanctuaire pour la faune, en particulier les oiseaux aquatiques, et les autres Etats de la région, la Floride, l'Alabama et le Mississippi notamment, craignent que la nappe de pétrole ne souille leurs plages et ne pollue les pêcheries, cruciales pour l'économie locale.



De grands risques

La mise à feu de la nappe de brut pourrait présenter des dangers pour l'environnement: elle risque de projeter dans l'atmosphère d'immenses bouffées d'une épaisse fumée noire et de libérer dans la mer des déchets visqueux. L'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) devait contrôler la qualité de l'air tout au long des opérations et des responsables ont assuré que si les normes de sécurité étaient transgressées, les opérations seraient interrompues.

Les efforts de BP pour colmater les fuites avaient échoué mardi, malgré l'utilisation de quatre bras robotiques opérant par 1.500 mètres de fond. Et les ingénieurs se démènent pour construire un large couvercle sous-marin destiné à endiguer la fuite. BP envisage également de forer des conduits de secours destinés à injecter un enduit spécial pour boucher définitivement le puits, mais cela pourrait prendre deux à trois mois.
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeVen 30 Avr - 11:49

Fameuse catastrophe j'ai vu tantôt tout ses animaux trempant de la nappe de pétrole sans vraiment comprendre ce qu'ils leur arrivaient. No
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeVen 30 Avr - 14:00

Ce n'est pas la première marée noire qui les atteint (voir les naufrages de l'Exxon Valdez en 1989, de l'Odyssey en 1988; du Burmah Agathe en 1979, de l'Hawaiian Patriot en 1977, du Corinthos en 1975 ou encore du Mandoil en 1968). Par contre, compte tenu de son ampleur, celle-ci risque d'être la plus grave jamais enregistrée et, c'est de nouveau la Louisiane qui est touchée alors qu'elle commençait à peine à se relever de ses inondations.
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeVen 30 Avr - 20:51

La nappe de pétrole ferait deux fois la taille de la Belgique et ça ne fait que s'empirer. No
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeSam 1 Mai - 8:04

C'est arrivé et ça arrivera encore...chaque passage à la pompe est un consentement à la création de nouvelles stations offshore, à plus de bateau etc.

Sur la mer aucun contrôle, du moins beaucoup moins important !

On s'installe presque comme on veut, ce n'est pas comme sur terre où des pétitions peuvent encore être faites.
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeSam 1 Mai - 8:41

on roulerai a vélo sa n'arriverais plus :)
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeSam 1 Mai - 20:04

Des dizaines d'espèces animales sont menacées par la marée noire qui touche les côtes de Louisiane, dans le sud des États-Unis, parmi lesquelles des dauphins et des cachalots, mettent en garde des défenseurs de l'environnement. C'est impensable qu'en 2010 que personne ne prend pas plus de sécurité autour des plates formes pétrolifère, on peut pas dire qu'ils n'ont pas l'argent pour le faire Exclamation
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeDim 2 Mai - 11:24

Elodie a écrit:
Des dizaines d'espèces animales sont menacées par la marée noire qui touche les côtes de Louisiane, dans le sud des États-Unis, parmi lesquelles des dauphins et des cachalots, mettent en garde des défenseurs de l'environnement. C'est impensable qu'en 2010 que personne ne prend pas plus de sécurité autour des plates formes pétrolifère, on peut pas dire qu'ils n'ont pas l'argent pour le faire Exclamation

Crois moi que la sécurité est plus importante sur ces plateformes que sur pas mal d'entreprises terrestres.

Ils savent le risque, nous le connaissons aussi.

Le problème c'est que l'on ne rouspète que en cas de problème.
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeDim 2 Mai - 23:30

Scarvounet a écrit:
Elodie a écrit:
Des dizaines d'espèces animales sont menacées par la marée noire qui touche les côtes de Louisiane, dans le sud des États-Unis, parmi lesquelles des dauphins et des cachalots, mettent en garde des défenseurs de l'environnement. C'est impensable qu'en 2010 que personne ne prend pas plus de sécurité autour des plates formes pétrolifère, on peut pas dire qu'ils n'ont pas l'argent pour le faire Exclamation

Crois moi que la sécurité est plus importante sur ces plateformes que sur pas mal d'entreprises terrestres.

Ils savent le risque, nous le connaissons aussi.

Le problème c'est que l'on ne rouspète que en cas de problème.
Si tu dis vrais pour la sécurité explique moi pourquoi ils n'arrivent pas à faire fasse à la catastrophe et ce depuis les premières heures après l'accident? Ils devraient prè-installés des barrages filtrant bien avant que cela arrive ou d'autres solutions. Surtout qu'ils ont assez de fond propre pour faire fasse à des dépenses d'une telle ampleur. Enfin peut-être qu'ils vont tout doucement réfléchir car c'est grave ce qu'il se passe en ce moment.
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeMar 4 Mai - 18:40

Stéphane a écrit:
Scarvounet a écrit:
Elodie a écrit:
Des dizaines d'espèces animales sont menacées par la marée noire qui touche les côtes de Louisiane, dans le sud des États-Unis, parmi lesquelles des dauphins et des cachalots, mettent en garde des défenseurs de l'environnement. C'est impensable qu'en 2010 que personne ne prend pas plus de sécurité autour des plates formes pétrolifère, on peut pas dire qu'ils n'ont pas l'argent pour le faire Exclamation

Crois moi que la sécurité est plus importante sur ces plateformes que sur pas mal d'entreprises terrestres.

Ils savent le risque, nous le connaissons aussi.

Le problème c'est que l'on ne rouspète que en cas de problème.
Si tu dis vrais pour la sécurité explique moi pourquoi ils n'arrivent pas à faire fasse à la catastrophe et ce depuis les premières heures après l'accident? Ils devraient prè-installés des barrages filtrant bien avant que cela arrive ou d'autres solutions. Surtout qu'ils ont assez de fond propre pour faire fasse à des dépenses d'une telle ampleur. Enfin peut-être qu'ils vont tout doucement réfléchir car c'est grave ce qu'il se passe en ce moment.
Dommage que Scarvounet ne prend pas la peine de me répondre.
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MessageSujet: Re: Notre pauvre planète et sa survie.   Notre pauvre planète et sa survie. Icon_minitimeMar 4 Mai - 18:46

Stéphane a écrit:
Scarvounet a écrit:
Elodie a écrit:
Des dizaines d'espèces animales sont menacées par la marée noire qui touche les côtes de Louisiane, dans le sud des États-Unis, parmi lesquelles des dauphins et des cachalots, mettent en garde des défenseurs de l'environnement. C'est impensable qu'en 2010 que personne ne prend pas plus de sécurité autour des plates formes pétrolifère, on peut pas dire qu'ils n'ont pas l'argent pour le faire Exclamation

Crois moi que la sécurité est plus importante sur ces plateformes que sur pas mal d'entreprises terrestres.

Ils savent le risque, nous le connaissons aussi.

Le problème c'est que l'on ne rouspète que en cas de problème.
Si tu dis vrais pour la sécurité explique moi pourquoi ils n'arrivent pas à faire fasse à la catastrophe et ce depuis les premières heures après l'accident? Ils devraient prè-installés des barrages filtrant bien avant que cela arrive ou d'autres solutions. Surtout qu'ils ont assez de fond propre pour faire fasse à des dépenses d'une telle ampleur. Enfin peut-être qu'ils vont tout doucement réfléchir car c'est grave ce qu'il se passe en ce moment.

Pardon avec le vert je pensais que personne ne m'avait répondu ^^'
Je ne dis pas que c'est infaillible, je dis juste que c'est substance est tellement précieuse que la sécurité y renforcée.
Sur terre presque rien n'est plus protéger qu'une centrale nucléaire et pourtant, il y a quand même un danger.

Toutes industries a son danger, rien n'est à zéro risque.

Mais cela n'empêche que ces stations, pour les plus récentes sont très très bien protégée, ne t'inquiète pas qu'ils y perdent pas mal avec cette fuite.

Maintenant pour le reste je suis d'accord que la planète est entrain de mourir, mais c'est toujours quand il y a un problème que les gens y réfléchissent. . .
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